A nouveau, il me faut me retirer
Le coeur gros et la bourse gonflée
De ce long fourreau suave
Où je peine à jouir
A déposer ma lourde lave
Ne t'entendant jamais gémir
Au point que fourbu et lassé
Je m'achève comme on fuit
Dans un coin sombre de la nuit
Au milieu de mon rêve brisé.
dimanche 13 janvier 2008
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