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J'aime à tripoter ses petits seins quand elle pleure de douleur sous les poussées brutales de mon vit qui va et vient entre ses pauvres fesses.
Tu me branles si bien le gland que je ne peux que t'aimer à la folie.
Je veux bien mourir sous tes coups, mais seulement sous tes coups de bite.
Il faut voir comme elle se dandine quand je lui broute le minou tandis que, de ses dix doigts, elle me tord le gland jusqu'à l'écume.
La garce m'a tant serré le gland que j'y garde encore la trace de ses dents.
Mais où donc sont passées les salopes pour qui je bande?
J'aime à te forcerA te contraindreA te couvrir, à te médireA te griffer, à te pincerA te tuer et à te fendreDe mon long sabre De chair et de sang.
Je me love entre tes brasJe me tue entre tes cuisses.
Déjà, je sens ta bouche sucer le bout de mon désir.
Quand je suis bien au chaud au dedans de son ventre et que ses reins respirent au rythme de ma danse alors, je ne veux ni ne peux, pour un temps, pour une heure, quitter cette douce chaleur, le velours d'une fente où je glisse sans efforts vers les rives envoûtantes de la petite mort.
Ce plaisir sublime d'être, dix secondes, tout entier dans son gland.
Entre tes cuisses j'ai cru mourirEntre tes fesses j'ai dû jouir.
La femme est un piègeVous y glissez le sexeEt, déjàElle vous suce la tête.
Ton coeur était fesses nues et s'ouvrait à qui s'avançait, un mot tendre à la bouche.
Elle était jeune, belle et nueElle était là, offerte, lasciveElle était là, ouverte, passiveElle était là, morte, tenueEt moi dessusM'agitantIvre et fouComme un loup sanguinaire.
Je la posais menueSur mon envie raide et nueEt ses pleursEt ses crisEt ses plaintesEt ses larmesDécuplaient vivementMon plaisir cru.
Vue de dos, toutes les femmes sont belles.