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Sous la soie, le duvetSous le duvet, la fenteDans la fente, le doigtSous le doigt, le cri.
Rien n'est plus beau qu'une femme quand le désir nous prend, rien n'est plus beau qu'une tarte quand l'appétit nous vient.
Les femmes sont des énigmes assez facilement pénétrables.
Sous les fines dentelles de ta jeunesse pousse une disgracieuse cellulite qui me dégoûte un peu.
La femme est un vide immense que je ne puis combler.
Ton corps était là comme une évidence, un fait incontournable, une sorte de puits noir et mystérieux où chacun se devait de pénétrer en douceur et retenue.
Je n'ai rien oublié du délice de tes mains sur moi, caressantes, émouvantes, ensorcelantes, pudiques et insolentes, perverses et conquérantes.
Peu importe la femme, pourvu qu'il y ait le trou.
C'est à la force du poignet, et sans jamais se fatiguer, qu'elle me fait éjaculer dans la cuvette des w-c.
Au pays des longues bites je suis le nain dont on rit, celui que l'on montre du doigt et qui s'enfuit.
Depuis le temps que je la baise, jamais elle n'a bougé et pour une fois que je la suce, la voilà qui s'agite et soupire à n'en plus finir.
Sous les draps souillés de plaisirs et de joies, dorment deux êtres dont les corps sont repus et dont les rêves ne se croisent plus.
Monte un peu plus haut tes fesses que je puisse, sans effort, glisser mon gland gorgé de sang dans les entrailles grasses de ton derrière pour y mourir encore une heure entouré de tes cris de douleur et des nauséeuses senteurs de ton anus déchiré.
C'est les bouses pleines et le coeur riche d'envies qu'à nouveau sur toi je me précipite la pine dressée comme un grand "i" avec pour point extrême mon gros gland rouge vif.
Au diable la capote, ce soir c'est jour de fête et c'est donc bien la bite nue que je veux défoncer tes gambettes.
Tu es ce corps qui obsède mes nuits et mouille mes rêves des draps jusqu'au caleçon.
Tu peux bien serrer tes cuisses et contracter tes fesses, rien n'y fera, cette nuit je percerais tes songes mon ange.
Mon ventre collé à tes fesses et mes mains noyées dans tes hanches, je poussais enfin le long cri de la délivrance, les notes sacrées de la divine jouissance quand la tête ne veut pas mais que le corps ne peut plus et que du plus profond des âges montent inexorable cinq à six longues salves d'une blanche et visqueuse lave.
Elle m'avait si bien branlé la bite et tant sucé le gland que je ne pu quitter son gîte sans lui laisser un peu d'argent.
Qu'elle était douce sa langue qui me suçait si bien l'anus tandis que de ses longs doigts tendres elle me faisait pleurer le gros gland nu.
Dieu que j'aime ses grosses mamelles roses quand elles s'agitent folles sur ma courte pine tendue puis s'écrasent molles sur mes couilles rouges menues.