mardi 31 juillet 2007


J'avais 19 ans et, elle, 4 de moins
Et son vagin tout neuf semblait prêt à m'enserrer le groin
Aussi, c'est à très vive allure, dans un très calme coin
Que je l'ai entraîné et violé sans fin.

J'aime à te regarder te balancer sans fin au bout de mon petit mandrin
Tes fesses rondes dansant la gigue tout autour de mon frein
Jusqu'à ce que, n'y tenant plus, je me répande en force
Entre les plis profonds et crus de ta rugueuse écorce.

L'amour est-il une confusion ou la fusion d'un con chauffé à blanc sous le frottement violent d'une bite gorgée de passions et de sang?

vendredi 27 juillet 2007


Par où passerai-je ce soir? Comme hier par devant au travers de ta barbe abondante? Où plus communément par l'autre versant en écartant bien grand le plis de ton derrière et son anneau surpuissant?

mardi 24 juillet 2007


J'aime à te regarder gémir sous la caresse profonde de ma bite turgescente.

lundi 23 juillet 2007


Elle peut bien être hideuse celle qui me suce et, sans dégoût, m'avale.

Mais où est donc passé cette belle gamine à la bouche cruelle qui, par un beau matin d'avril, derrière le muret de l'église, à l'ombre des plus sévères croix à, sur ma bite, posé ses doigts?

Si sa cuisse est légère, son cul, lui, ne l'est pas.

Au plus profond de mes souvenirs se dresse, surpris en pleine lumière, l'énorme pénis de mon père.

Mieux vaut grosses couilles que grosse bite.