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J'avais 19 ans et, elle, 4 de moinsEt son vagin tout neuf semblait prêt à m'enserrer le groinAussi, c'est à très vive allure, dans un très calme coinQue je l'ai entraîné et violé sans fin.
J'aime à te regarder te balancer sans fin au bout de mon petit mandrinTes fesses rondes dansant la gigue tout autour de mon freinJusqu'à ce que, n'y tenant plus, je me répande en forceEntre les plis profonds et crus de ta rugueuse écorce.
L'amour est-il une confusion ou la fusion d'un con chauffé à blanc sous le frottement violent d'une bite gorgée de passions et de sang?
Par où passerai-je ce soir? Comme hier par devant au travers de ta barbe abondante? Où plus communément par l'autre versant en écartant bien grand le plis de ton derrière et son anneau surpuissant?
J'aime à te regarder gémir sous la caresse profonde de ma bite turgescente.
Elle peut bien être hideuse celle qui me suce et, sans dégoût, m'avale.
Mais où est donc passé cette belle gamine à la bouche cruelle qui, par un beau matin d'avril, derrière le muret de l'église, à l'ombre des plus sévères croix à, sur ma bite, posé ses doigts?
Si sa cuisse est légère, son cul, lui, ne l'est pas.
Au plus profond de mes souvenirs se dresse, surpris en pleine lumière, l'énorme pénis de mon père.
Mieux vaut grosses couilles que grosse bite.