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C'est bien à fond dans ses entraillesQue je coulisse comme un pistonEt peu m'importe que je dérailleSon cul vaut bien son petit con.
C'est par le plus grand des hasardsQu'un soir au clair de luneJe lui ai déballé tout mon bazarEt puis, bien sûr, limé la prune.
C'est au milieu de mille gensQue je l'ai vu se mettre nueEt demander au plus offrantDe la sauter comme une grue.
Nu, assis dessus ma pauvre chaiseElle me chevauche sans merciEt c'est peu dire qu'elle me baiseTant elle s'agite dessus mon vit.
Elle est plus belle que les angesQuand elle chante sa chansonMes yeux dedans ses yeux étrangesEt sa main douce dans mon caleçon.
Elle est un monstre sensuelA toujours me vouloir en elleGonflé, tendu jusqu'à l'extrêmePour lui prouver combien je l'aime.
Jeune bien sûr elle n'étaitEt de pitié point je n'avaisAussi, c'est en toute sérénitéQu'à sec je l'ai enculé.
Je ne voyais que ses belles bottesAlors que je l'imaginais toute nueEt je ne rêvais que de culottesQuand je ne pensais qu'à son cul.
Elle était belle ma salopeQui me suçait la nuit, le jourEt me mettait deux doigts au fourPour que je jute comme une lope.
Lentement, je lui enfonce ma birouteAu travers du filme de l'innocenceEt, dans ses yeux, j'entends comme elle pense"Mon Dieu comme elle dure l'adolescence".
C'est dans le noir et dans la peurQu'elle m'a volé mon pucelageAlors que je n'avais même pas l'âgeDe savourer tant de bonheursN'en comprenant pas davantageElle me fit durcir le tuteurPuis se jeta sur moi de rageEt me fit juter comme on pleur.
C'est tout debout, le dos au murQu'elle me força de ses dix doigtsA lui montrer mon bout tout durQu'elle astiqua comme l'on doit.
Elle me tripote les noisettesTant et si bien qu'elle en fait finBuvant ainsi jusqu'à plus faimTout le contenant de ma burette.
C'est en dilatant sa rondelleLe latex glissant sur la vaselineQu'elle m'avoua s'appeler AdelineAvant de jouir de plus belle.