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Jamais en elle je n'ai vouluCracher mon pauvre jus de boulesCar je la savais trop goulueEt trop insatiable de la moule.
Dessous la soie des ses lottescuSe cachent deux bien petites portesEt si l'une s'entrouvre sur la cordeL'autre, vous invite à son cul.
Bien rare est la femelleQui jamais ne jouitEt si, avec vous, elle ne gémitC'est que d'autres alors la font belle.
Il y a dedans tes mainsDe quoi toujours me rendre fouEt du soir au matinD'ainsi pouvoir fourrer tes trous.
J'aime tenir ses chevillesQuand elle entame ses soupirsEt se dandine sans finirAutour de ma lance de vie.
Entre elles, toutes les filles rient de moiEt de ma bitte épaisse comme un doigtMais quand la farce, au soir, s'achève enfinC'est toutes, ensemble, qui me rêvent à leurs reins.
Il n'y a pas un jourSans que je pense à toiEt à tes petits doigtsQui font si bien l'Amour.
Elle cache dans sa blanche culotteUn bien étrange petit boutonQui la rend toujours un peu sotteQuand on le frotte pour de bon.
Elle n'a plus vraiment d'âgeMais, avec elle, dans le bonheur on nageCar de la bouche ou du croupionElle vous fait juter en champion.
A force de ramonerEt ramoner en forceJe n'avais plus dessous mon torseQu'une pucelle bien écoeurée.
Il y a en chaque femme de quoi faire durcir bien des bites.
Les serpents se dressent nus et sauvages sur la plageEt les fillettes à petits seins pleurent souvent de rageCette fois encore, l'été ne sera pas le début d'un nouveau matinEt rien d'autre que leur plus long doigt ne massera leur petit vagin.
Les roses fanées s'écoulent sans parfumsDe mon coeur déchiré à ton ventre trop plein.