mercredi 25 juin 2008


Mon Dieu, gardez moi des pucelles et de toute leur jeunesse
De ces ventres sans ombres et de ces poitrines sans seins
Ce soir, je veux goûter de la grasse et de la ronde fesse
Et me répandre en force en de bien larges chutes de reins.

Je n'ai de souvenirs que de tes seins trop lourds
Quand, sur moi, ils pesaient bien plus que notre amour
Allant, venant, fort menaçant comme de gros cailloux
Dont je ne pouvais éviter la chute dessus mes pauvres joues.

vendredi 20 juin 2008


Veux-tu bien cesser de me brouter les couilles
Et écouter, un peu, ce que j'ai à te dire à coeur
Ne vois-tu donc pas que, peu à peu, je meurs
Tant, par mon gros pénis, tu veux que je te mouille.

J'ai dans mon pénis assez de force pour te fendre
Et assez de vigueur pour te faire pleurer et puis rire
Mais, par pitié, laisse moi, ce soir, me détendre
Loin de ton corps et de ses trop nombreux désirs.

samedi 14 juin 2008


Nu, je veux me frotter contre toi
Jusqu'à ce que tes lèvres mouillent
Et que ta fleur gobe ma douille
Pour en voler ce qui est moi.

Je ne veux rien savoir de tes douleurs
Ni même entendre tes sanglots
Ce que je veux, c'est voir ton dos
Et m'enfoncer dans ses douceurs.

mercredi 4 juin 2008


Si c'était à refaire
C'est sûr que je la ferais taire
Non pas en lui serrant le cou
Mais bien, en lui suçant le trou.

dimanche 1 juin 2008


Elle n'est ni laide ni immonde
Mais elle crie fort quand on l'encule
Aussi, c'est sans trop de scrupules
Qu'on la bâillonne quand on l'inonde.

Elle a les fesses plus qu'émouvantes
Et c'est peu dire que l'on bande
Mais quand elle danse on croit rêver
Au point qu'on ne peut que juter.

Elle était belle comme un boudin
Moi, qui déjà n'avais plus faim
Aussi, c'est juste par amitié
Que je lui broutais le minet.