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Mon Dieu, gardez moi des pucelles et de toute leur jeunesseDe ces ventres sans ombres et de ces poitrines sans seinsCe soir, je veux goûter de la grasse et de la ronde fesseEt me répandre en force en de bien larges chutes de reins.
Je n'ai de souvenirs que de tes seins trop lourdsQuand, sur moi, ils pesaient bien plus que notre amourAllant, venant, fort menaçant comme de gros caillouxDont je ne pouvais éviter la chute dessus mes pauvres joues.
Veux-tu bien cesser de me brouter les couillesEt écouter, un peu, ce que j'ai à te dire à coeurNe vois-tu donc pas que, peu à peu, je meursTant, par mon gros pénis, tu veux que je te mouille.
J'ai dans mon pénis assez de force pour te fendreEt assez de vigueur pour te faire pleurer et puis rireMais, par pitié, laisse moi, ce soir, me détendreLoin de ton corps et de ses trop nombreux désirs.
Nu, je veux me frotter contre toiJusqu'à ce que tes lèvres mouillentEt que ta fleur gobe ma douillePour en voler ce qui est moi.
Je ne veux rien savoir de tes douleursNi même entendre tes sanglotsCe que je veux, c'est voir ton dosEt m'enfoncer dans ses douceurs.
Si c'était à refaireC'est sûr que je la ferais taireNon pas en lui serrant le couMais bien, en lui suçant le trou.
Elle n'est ni laide ni immondeMais elle crie fort quand on l'enculeAussi, c'est sans trop de scrupulesQu'on la bâillonne quand on l'inonde.
Elle a les fesses plus qu'émouvantesEt c'est peu dire que l'on bandeMais quand elle danse on croit rêverAu point qu'on ne peut que juter.
Elle était belle comme un boudinMoi, qui déjà n'avais plus faimAussi, c'est juste par amitiéQue je lui broutais le minet.