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Ce soir, la messe est diteSur l'autel de l'AmourEntre ses doigts ma biteEt ma langue, loin dans son four.
A la claire fontaineM'en allant vous baiserJ'ai eu bien de la peineA vous faire chanter.
Voulant voler de ma propre façonIl m'arrivait de me frotter de temps à autresContre la soie ou dedans le cotonJusqu'à pleurer comme tous les autres.
Ma grosse bite est toute dureDedans sa main toute pubèreEt si je n'étais pas son beau-pèreSûrement qu'elle serait encore pure.
Elle a le cul serré et la fente gluanteVoilà bien pourquoi on la dit bonne amanteAlors qu'elle pète tout autant qu'elle roteComme le ferait votre plus proche pote.
Si la branlette n'était pas à la modeA quoi serviraient alors les fillettesQui se trémoussent sur des godesQuand je me tripote la quéquette.
A trop lui sucer ses tétonsElle entre en orgasme avant moiEt me laisse dur comme le bétonSa main posée sur mon émoi.
Je milite avec force et entrainPour le retour du poil pubienSur les photos de magazineEt sur la chatte des gamines.
Au Diable les petits cons inviolésA Dieu tous les vagins désespérésA vous les vulves contaminéesA moi les petits culs tout bien serrés.
Dessous son ventre gros et grasSe cache son tout petit pipeauQu'il aime gonfler comme ses brasAu point d'en retrousser toute la peau.