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Je n'avais que huit ansEt c'était ma grande soeurMais,Dieu que de joies je prisA sentir ses longs doigts Bouger comme il se doitLe long de mon petit zizi.
Il n'est pas des plus sageQue je la baise sous mon toitCar les pucelles de son âgeHurlent beaucoup la première fois.
N'y pouvant plus tenirJe me collais à elleEt sans la prévenirJe souillais ses dentelles.
Ses mains s'aventurèrent entre mes cuissesEt doucement, sans même que je puisseElle me serra la bourse et aussi le gourdinJoua avec mes couilles et mon petit boudin.
Elle n'est pas des plus bellesMais elle me suce tellement bienQue je ne peux faire pour elleMoins que je n'ose pour mon chien.
De son passage dans ma vieJe ne me souviens que d'un matinQuand, à peine sorti du litElle me retint en cheminJouant des doigts comme sur un pisElle me fit gigoter des reinsPuis me branlât le bout du vitPour me voir juter dans sa main.
Avant que, de tes petits doigts, tu ne me branles vivement la nouilleVeux-tu, je t'en implore,presser entre tes mains mes couillesQue s'échauffe, au plus profond de moi, cette pressante envieQue j'ai, depuis longtemps, d'éjaculer sur toi et ta petite vie.
Jeune, bien trop jeune, il était acculé sans peine et enculé sans mal.
Sur tes belles fesses bien trop blanches j'ai frappé à contre coeur mais jusqu'au sang.
On ne perd jamais son temps aux vagins des femmes.
Dans les préservatifs de la nuit, des millions de vies agonisent.
L'Amour est au ventre comme la queue est au con.
La femme est un trou qui palpite au moindre mot d'amour.
Quand j'y pense, je bande et quand je la vois, je bois.