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Envie de rien, besoin de toutMa main posée dedans ta touffeA te masser doucement le boutAvant, qu'à fond, je ne te bouffeTa belle vulve dans un souffleEt ton gros cul un peu trop mou.
Au rose de ton corpsLe noir de tes dentellesFait de moi ce gros porcQui aime les pucelles.
Clouée dessus ma longue pineElle me chantait l'amourAu point de non retourD'une voix bien angevine.
La main du diable
Est plus chaude et plus velue
Que ta vulve endormie
Où, pourtant, j'aspire
A trouver le repos.
Amoureux fou, dans la belle piscineDoucement, je la baisais contre le bordLa fécondant à coups de longue pineJusqu'à ce qu'elle crie mon nom très fort.
Le long du long canal, doucement me promenantJe la vis, non loin de moi, qui descendait de selleEt, dans un geste ample, ôtait toute sa dentellePour me montrer son cul et son doigt au dedans.
Elle était bien trop froide du coeur et bien trop brûlante du cul.
Une femme toute offerte n'est qu'un pauvre plat sans sauce.
Je donnerais toute ma vie pour une petite connasse bien juteuse.
Mon os est dur comme la pierreOù tu vas graver notre amourToute la nuit à coups de chairsEt, dans un râle, pour toujours.
Je ne sais plus si tu es belleJe sais seulement que tu es làA te vautrer dedans les drapsA me faire bander de plus belle.
Aux flammes du désirMon corps s'échauffe, languissantTendu comme la corde du violonOù tu reposes, enfin, tes doigts.
Nulle n'est plus belle que toiQuand tu te frottes toute nueContre mes paumes et mes doigtsCherchant ton plaisir tant et plusJusqu'à ce que je n'en puisse plus.
L'oreille tendue plus que la biteJe me branlais dessous les drapsAllant, venant, vite bien vitePour ne pas trop muscler mon bras.
Elle n'est pas des plus belleMais elle est vraiment bonneVoilà pourquoi on se jette sur elleEt pourquoi on la traite de conne.
Son corps rond est chaud à me brûlerEt mes lèvres fines et ma grosse pineMais que cette chaleur peut être divineA moi qui ne pense plus guère qu'à juter.
Elle est encore loin d'être néeLa suceuse inexpérimentéeQui pourra me vider les couillesSans me faire durcir la nouille.
J'aurais pu être heureuxSi, pour elle, cela n'était un jeuCelui de me faire banderDevant ses amies amusées.
N'arrête pas de pilonnerMon petit trou sale et merdeuxCar je sens bien que c'est sous peuQue, sur ta bite, je vais crier.
Non, rien de rienNon, je ne sens vraiment rienEt surtout pas ton pauvre enginQui est, décidément, trop fin.
Sous les voiles légers de la pudeurVivait une furieuse vicieuse.
Les femmes sont, un peu, toutes les mêmesQui se refusent au prétexte de fausses migrainesMais, dès qu'on commence à leur parler d'amourLes voilà toutes qui s'offrent pour qu'on les fourre.
Elle aime à secouer mes couillesDe ses petits doigts boudinésPendant que, de sa langue, elle mouilleLe bout de mon dard érigé.
Face à ses gros nichonsJe dégaine mon cornichonEt me jette sur elleLe nez dans ses aisselles.
Elle a de l'amour dans les yeuxEt du plaisir plein le coeurAussi, c'est lentement et en douceurQue je la baise comme elle veut.
Si toutes les filles ne sont pas bellesAucune n'est vraiment trop laidePour qu'un jeune homme, un jour, ne l'aideA faire mourir, en elle, la pucelle.
Elle a le coeur qui se déchireA chaque fois qu'on la violeMais, au fond, ce qui est pireC'est qu'elle adore la vie folle.
Quand le désir me vientDe chevaucher le grand poiluJe lui suce juste un bout de seinAvant de la mettre toute nue.
C'est à cent vingt sur l'autorouteQue je l'invite à me branlerMais, ignorant tout de la birouteElle m'a seulement pressé le nez.
C'est dans les dunes, loin des plagesQue je la baise comme un fouAu point que je suis tout en nageQuand je me vide dans son trou.
A la porte des écolesJ'aime à montrer mon vitEt si les enfants, eux, rigolentLes maîtresses, elles, rient.
Je n'ai d'elle qu'un souvenirCelui de n'avoir pu me retenirAu delà de deux, trois minutesDans son vagin de vieille pute.
Elle était mignonne la salopeQui la première m'a fait juterNon plus dans une pauvre loqueMais dans un con bien lubrifié.
Ce soir, la messe est diteSur l'autel de l'AmourEntre ses doigts ma biteEt ma langue, loin dans son four.
A la claire fontaineM'en allant vous baiserJ'ai eu bien de la peineA vous faire chanter.
Voulant voler de ma propre façonIl m'arrivait de me frotter de temps à autresContre la soie ou dedans le cotonJusqu'à pleurer comme tous les autres.
Ma grosse bite est toute dureDedans sa main toute pubèreEt si je n'étais pas son beau-pèreSûrement qu'elle serait encore pure.
Elle a le cul serré et la fente gluanteVoilà bien pourquoi on la dit bonne amanteAlors qu'elle pète tout autant qu'elle roteComme le ferait votre plus proche pote.
Si la branlette n'était pas à la modeA quoi serviraient alors les fillettesQui se trémoussent sur des godesQuand je me tripote la quéquette.
A trop lui sucer ses tétonsElle entre en orgasme avant moiEt me laisse dur comme le bétonSa main posée sur mon émoi.
Je milite avec force et entrainPour le retour du poil pubienSur les photos de magazineEt sur la chatte des gamines.
Au Diable les petits cons inviolésA Dieu tous les vagins désespérésA vous les vulves contaminéesA moi les petits culs tout bien serrés.
Dessous son ventre gros et grasSe cache son tout petit pipeauQu'il aime gonfler comme ses brasAu point d'en retrousser toute la peau.
Jamais en elle je n'ai vouluCracher mon pauvre jus de boulesCar je la savais trop goulueEt trop insatiable de la moule.
Dessous la soie des ses lottescuSe cachent deux bien petites portesEt si l'une s'entrouvre sur la cordeL'autre, vous invite à son cul.
Bien rare est la femelleQui jamais ne jouitEt si, avec vous, elle ne gémitC'est que d'autres alors la font belle.
Il y a dedans tes mainsDe quoi toujours me rendre fouEt du soir au matinD'ainsi pouvoir fourrer tes trous.
J'aime tenir ses chevillesQuand elle entame ses soupirsEt se dandine sans finirAutour de ma lance de vie.
Entre elles, toutes les filles rient de moiEt de ma bitte épaisse comme un doigtMais quand la farce, au soir, s'achève enfinC'est toutes, ensemble, qui me rêvent à leurs reins.