mercredi 31 décembre 2008


Envie de rien, besoin de tout
Ma main posée dedans ta touffe
A te masser doucement le bout
Avant, qu'à fond, je ne te bouffe
Ta belle vulve dans un souffle
Et ton gros cul un peu trop mou.

Au rose de ton corps
Le noir de tes dentelles
Fait de moi ce gros porc
Qui aime les pucelles.

Clouée dessus ma longue pine
Elle me chantait l'amour
Au point de non retour
D'une voix bien angevine.

dimanche 21 décembre 2008


La main du diable
Est plus chaude et plus velue
Que ta vulve endormie
Où, pourtant, j'aspire
A trouver le repos.

samedi 20 décembre 2008


Amoureux fou, dans la belle piscine
Doucement, je la baisais contre le bord
La fécondant à coups de longue pine
Jusqu'à ce qu'elle crie mon nom très fort.

Le long du long canal, doucement me promenant
Je la vis, non loin de moi, qui descendait de selle
Et, dans un geste ample, ôtait toute sa dentelle
Pour me montrer son cul et son doigt au dedans.

samedi 13 décembre 2008


Elle était bien trop froide du coeur et bien trop brûlante du cul.

Une femme toute offerte n'est qu'un pauvre plat sans sauce.

Je donnerais toute ma vie pour une petite connasse bien juteuse.

mardi 9 décembre 2008


Mon os est dur comme la pierre
Où tu vas graver notre amour
Toute la nuit à coups de chairs
Et, dans un râle, pour toujours.

Je ne sais plus si tu es belle
Je sais seulement que tu es là
A te vautrer dedans les draps
A me faire bander de plus belle.

Aux flammes du désir
Mon corps s'échauffe, languissant
Tendu comme la corde du violon
Où tu reposes, enfin, tes doigts.

dimanche 30 novembre 2008


Nulle n'est plus belle que toi
Quand tu te frottes toute nue
Contre mes paumes et mes doigts
Cherchant ton plaisir tant et plus
Jusqu'à ce que je n'en puisse plus.

samedi 22 novembre 2008


L'oreille tendue plus que la bite
Je me branlais dessous les draps
Allant, venant, vite bien vite
Pour ne pas trop muscler mon bras.

Elle n'est pas des plus belle
Mais elle est vraiment bonne
Voilà pourquoi on se jette sur elle
Et pourquoi on la traite de conne.

dimanche 16 novembre 2008


Son corps rond est chaud à me brûler
Et mes lèvres fines et ma grosse pine
Mais que cette chaleur peut être divine
A moi qui ne pense plus guère qu'à juter.

Elle est encore loin d'être née
La suceuse inexpérimentée
Qui pourra me vider les couilles
Sans me faire durcir la nouille.

J'aurais pu être heureux
Si, pour elle, cela n'était un jeu
Celui de me faire bander
Devant ses amies amusées.

lundi 10 novembre 2008


N'arrête pas de pilonner
Mon petit trou sale et merdeux
Car je sens bien que c'est sous peu
Que, sur ta bite, je vais crier.

Non, rien de rien
Non, je ne sens vraiment rien
Et surtout pas ton pauvre engin
Qui est, décidément, trop fin.

lundi 3 novembre 2008


Sous les voiles légers de la pudeur
Vivait une furieuse vicieuse.

dimanche 2 novembre 2008


Les femmes sont, un peu, toutes les mêmes
Qui se refusent au prétexte de fausses migraines
Mais, dès qu'on commence à leur parler d'amour
Les voilà toutes qui s'offrent pour qu'on les fourre.

Elle aime à secouer mes couilles
De ses petits doigts boudinés
Pendant que, de sa langue, elle mouille
Le bout de mon dard érigé.

vendredi 24 octobre 2008


Face à ses gros nichons
Je dégaine mon cornichon
Et me jette sur elle
Le nez dans ses aisselles.

Elle a de l'amour dans les yeux
Et du plaisir plein le coeur
Aussi, c'est lentement et en douceur
Que je la baise comme elle veut.

dimanche 5 octobre 2008


Si toutes les filles ne sont pas belles
Aucune n'est vraiment trop laide
Pour qu'un jeune homme, un jour, ne l'aide
A faire mourir, en elle, la pucelle.

Elle a le coeur qui se déchire
A chaque fois qu'on la viole
Mais, au fond, ce qui est pire
C'est qu'elle adore la vie folle.

Quand le désir me vient
De chevaucher le grand poilu
Je lui suce juste un bout de sein
Avant de la mettre toute nue.

jeudi 25 septembre 2008


C'est à cent vingt sur l'autoroute
Que je l'invite à me branler
Mais, ignorant tout de la biroute
Elle m'a seulement pressé le nez.

mardi 23 septembre 2008


C'est dans les dunes, loin des plages
Que je la baise comme un fou
Au point que je suis tout en nage
Quand je me vide dans son trou.

A la porte des écoles
J'aime à montrer mon vit
Et si les enfants, eux, rigolent
Les maîtresses, elles, rient.

mardi 2 septembre 2008

Je n'ai d'elle qu'un souvenir
Celui de n'avoir pu me retenir
Au delà de deux, trois minutes
Dans son vagin de vieille pute.

Elle était mignonne la salope
Qui la première m'a fait juter
Non plus dans une pauvre loque
Mais dans un con bien lubrifié.

dimanche 24 août 2008

Ce soir, la messe est dite
Sur l'autel de l'Amour
Entre ses doigts ma bite
Et ma langue, loin dans son four.

A la claire fontaine
M'en allant vous baiser
J'ai eu bien de la peine
A vous faire chanter.

dimanche 17 août 2008

Voulant voler de ma propre façon
Il m'arrivait de me frotter de temps à autres
Contre la soie ou dedans le coton
Jusqu'à pleurer comme tous les autres.

Ma grosse bite est toute dure
Dedans sa main toute pubère
Et si je n'étais pas son beau-père
Sûrement qu'elle serait encore pure.

Elle a le cul serré et la fente gluante
Voilà bien pourquoi on la dit bonne amante
Alors qu'elle pète tout autant qu'elle rote
Comme le ferait votre plus proche pote.

dimanche 10 août 2008


Si la branlette n'était pas à la mode
A quoi serviraient alors les fillettes
Qui se trémoussent sur des godes
Quand je me tripote la quéquette.

A trop lui sucer ses tétons
Elle entre en orgasme avant moi
Et me laisse dur comme le béton
Sa main posée sur mon émoi.

lundi 4 août 2008

Je milite avec force et entrain
Pour le retour du poil pubien
Sur les photos de magazine
Et sur la chatte des gamines.

Au Diable les petits cons inviolés
A Dieu tous les vagins désespérés
A vous les vulves contaminées
A moi les petits culs tout bien serrés.

Dessous son ventre gros et gras
Se cache son tout petit pipeau
Qu'il aime gonfler comme ses bras
Au point d'en retrousser toute la peau.

mercredi 30 juillet 2008

Jamais en elle je n'ai voulu
Cracher mon pauvre jus de boules
Car je la savais trop goulue
Et trop insatiable de la moule.

Dessous la soie des ses lottescu
Se cachent deux bien petites portes
Et si l'une s'entrouvre sur la corde
L'autre, vous invite à son cul.

Bien rare est la femelle
Qui jamais ne jouit
Et si, avec vous, elle ne gémit
C'est que d'autres alors la font belle.

vendredi 25 juillet 2008


Il y a dedans tes mains
De quoi toujours me rendre fou
Et du soir au matin
D'ainsi pouvoir fourrer tes trous.

J'aime tenir ses chevilles
Quand elle entame ses soupirs
Et se dandine sans finir
Autour de ma lance de vie.

Entre elles, toutes les filles rient de moi
Et de ma bitte épaisse comme un doigt
Mais quand la farce, au soir, s'achève enfin
C'est toutes, ensemble, qui me rêvent à leurs reins.

lundi 21 juillet 2008