skip to main |
skip to sidebar
Repu, je me replie au dehors de tes plis doux et humides.
De ma lame de coeur, je rase ton pubis fougueux.
J'ai passé l'âge des minauderies et des culottes en cotonCe que je veux maintenant c'est de la baiseDe la vrai, de la bonneDe celle qui bouge et qui remueDe celle qui glisse et qui mouilleDe celle qui gémit et qui crieDe celle qui suinte et qui jute.
Pour une fois, ne pourrais-tu pas seulement m'aimer du bout des lèvres?
Les femmes sont des fleurs de soies et de dentelles.
A nouveau, il me faut me retirerLe coeur gros et la bourse gonfléeDe ce long fourreau suaveOù je peine à jouirA déposer ma lourde laveNe t'entendant jamais gémirAu point que fourbu et lasséJe m'achève comme on fuitDans un coin sombre de la nuitAu milieu de mon rêve brisé.
Viens donc iciQue je renifle ta culotteQue, de mon doigt, je vérifieQue tu n'es pas une salope.
Au fait, le sais tu petite sotteCombien il est douxDe se laisser brouter la motte ?
Inonde moi de ton amourQue je sente couler en moiLa douce liqueur de vieLa sève riche de ton long vitQui lentement me comble puis me noieAux premières lueurs du jour.