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Envie de rien, besoin de toutMa main posée dedans ta touffeA te masser doucement le boutAvant, qu'à fond, je ne te bouffeTa belle vulve dans un souffleEt ton gros cul un peu trop mou.
Au rose de ton corpsLe noir de tes dentellesFait de moi ce gros porcQui aime les pucelles.
Clouée dessus ma longue pineElle me chantait l'amourAu point de non retourD'une voix bien angevine.
La main du diable
Est plus chaude et plus velue
Que ta vulve endormie
Où, pourtant, j'aspire
A trouver le repos.
Amoureux fou, dans la belle piscineDoucement, je la baisais contre le bordLa fécondant à coups de longue pineJusqu'à ce qu'elle crie mon nom très fort.
Le long du long canal, doucement me promenantJe la vis, non loin de moi, qui descendait de selleEt, dans un geste ample, ôtait toute sa dentellePour me montrer son cul et son doigt au dedans.
Elle était bien trop froide du coeur et bien trop brûlante du cul.
Une femme toute offerte n'est qu'un pauvre plat sans sauce.
Je donnerais toute ma vie pour une petite connasse bien juteuse.
Mon os est dur comme la pierreOù tu vas graver notre amourToute la nuit à coups de chairsEt, dans un râle, pour toujours.
Je ne sais plus si tu es belleJe sais seulement que tu es làA te vautrer dedans les drapsA me faire bander de plus belle.
Aux flammes du désirMon corps s'échauffe, languissantTendu comme la corde du violonOù tu reposes, enfin, tes doigts.