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Nulle n'est plus belle que toiQuand tu te frottes toute nueContre mes paumes et mes doigtsCherchant ton plaisir tant et plusJusqu'à ce que je n'en puisse plus.
L'oreille tendue plus que la biteJe me branlais dessous les drapsAllant, venant, vite bien vitePour ne pas trop muscler mon bras.
Elle n'est pas des plus belleMais elle est vraiment bonneVoilà pourquoi on se jette sur elleEt pourquoi on la traite de conne.
Son corps rond est chaud à me brûlerEt mes lèvres fines et ma grosse pineMais que cette chaleur peut être divineA moi qui ne pense plus guère qu'à juter.
Elle est encore loin d'être néeLa suceuse inexpérimentéeQui pourra me vider les couillesSans me faire durcir la nouille.
J'aurais pu être heureuxSi, pour elle, cela n'était un jeuCelui de me faire banderDevant ses amies amusées.
N'arrête pas de pilonnerMon petit trou sale et merdeuxCar je sens bien que c'est sous peuQue, sur ta bite, je vais crier.
Non, rien de rienNon, je ne sens vraiment rienEt surtout pas ton pauvre enginQui est, décidément, trop fin.
Sous les voiles légers de la pudeurVivait une furieuse vicieuse.
Les femmes sont, un peu, toutes les mêmesQui se refusent au prétexte de fausses migrainesMais, dès qu'on commence à leur parler d'amourLes voilà toutes qui s'offrent pour qu'on les fourre.
Elle aime à secouer mes couillesDe ses petits doigts boudinésPendant que, de sa langue, elle mouilleLe bout de mon dard érigé.