dimanche 28 octobre 2007


Je veux prendre le temps de découvrir, du bout de ma langue, les richesses encore tendres de ta fleur nue qui ,très vite, s'entrouvre et sue dégageant les mille et une senteurs enivrantes de l'amour et du stupre.

vendredi 26 octobre 2007


C'est à presque 13 ans, dans un coin sombre du jardin, que, pour la toute première fois, elle suça, de ses lèvres hésitantes, le bout tout dur de ma petite bistouquette.

lundi 22 octobre 2007


C'est, au coeur de la grande ville, à l'ombre d'un buisson bien dense, que, tout jeune, je me décalottais le gland avant de le masser vivement du bout de mes doigts gluants jusqu'à ce que ma jouissance se précipite et gicle sauvagement en fines gouttelettes blanches sur le vert encore tendre d'une feuille géante de marronnier.

samedi 20 octobre 2007


Comme elles sont chaudes et humides ces entrailles où je me glisse avec délice en lents coups de bite.

mardi 16 octobre 2007


Ses belles fesses rondes cachent un secret des plus malodorant que je rêve de percer avec ou sans vaseline.

Je lui goûte les seins à pleine bouche tout en lui baissant de mes deux mains fébriles sa petite culotte de fin coton blanc dévoilant ainsi à mes doigts taquins les pétales soyeux de son jeune bouton qui, déjà, commence à s'ouvrir sous la douce chaleur du plaisir naissant.

dimanche 14 octobre 2007


Sa cuisse était légère et son con bien gras et c'était grand plaisir d'y mourir cinq ou six fois la nuit venue.

samedi 13 octobre 2007


Elle était ronde des fesses et pointue des seins et j'avais grand plaisir à la piner sans faim.

C'est après avoir ôté son slip en fines dentelles que je découvris avec effroi combien son con était étroit et ses petites lèvres toujours sèches.

mercredi 10 octobre 2007


J'aime à savourer le fruit juteux que tu caches si mal sous ta jupe si courte.

Elle se débattait si bien sous mes longs coups de sabre que je ne sus jamais vraiment où finissait sa haine et où naissait son plaisir.

dimanche 7 octobre 2007


Son vagin était si large que, jamais, je ne pu finir mon ouvrage autrement qu'en lui forçant le cul.

La bouche grande ouverte elle attendait mon offrande avec envie et courage.

Ses belles fesses rondes s'écartèrent aisément sous la pression sauvage de mon gland rouge vif.

vendredi 5 octobre 2007


Je n'ai qu'une envie, me glisser en chaque plis, te forcer en chaque trous.

A nouveau je glisse ma verge dans le néant de ton vagin brûlant.

La femme est un fruit rond que l'on ouvre par les fesses.