lundi 5 novembre 2007

Mon ventre collé à tes fesses et mes mains noyées dans tes hanches, je poussais enfin le long cri de la délivrance, les notes sacrées de la divine jouissance quand la tête ne veut pas mais que le corps ne peut plus et que du plus profond des âges montent inexorable cinq à six longues salves d'une blanche et visqueuse lave.

Aucun commentaire: